À la mémoire de Dave
En ce dernier jour de printemps, tu t’es envolé.
Pas de mot. Ta vie qui s’arrête…
Et c’est à ceux que tu quittes que l’on pense, avec qui on pleure.
Et nos larmes résonnent du son de ta voix, de tes rires.
Ton drame nous bouleverse.
C’est à toi que l’on pense.
À toi qui n’aurais pas dû partir.
À toi qui devais continuer de jouer, de grandir.
À toi qui n’étais qu’un enfant.
À toi qui n’es plus là…
À toi qui restes présent, invisible.
Repose en paix.
(Aouatif)